Le Musée du bronze présente Le bronze et la bête, l’empreinte d’un terroir

Qu’elles soient fabriquées en bronze, en grès, en verre, en aluminium, en céramique ou en bois, les quelque 150 œuvres réunies sous le toit du Musée du bronze d'Inverness ont toutes un point en commun : l’animal.

Le bronze et la bête, l'empreinte d'un terroir
Un 20e anniversaire sous le signe des animaux

Au total, 47 artistes ont laissé libre cours à leur imagination. Les visiteurs pourront admirer le travail, notamment, de Pascale Archambault, Jean-Pierre Busque, Emmanuelle Lessard et Marc Thériault. De plus, des pièces de Jean-Paul Riopelle et Alfred Laliberté y sont également exposées.


C’est Christiane Giguère qui se cache derrière l’assemblage de Le bronze et la bête, l’empreinte d’un terroir. Dans son allocution, elle s’est dite fière du produit final, mentionnant que l’exposition représentait un beau défi à relever.

Partant de l’idée préconçue du conseil d’administration, dont l’univers devait tourner alentour du monde animal, elle s’est mise au travail afin d’amener les visiteurs dans un univers où plusieurs dimensions s’entrecroisent, mais dont le fil conducteur demeure inchangé.

« Les gens découvriront plein de surprises en passant par la multitude de supports et d’effets. Ils s’immergeront dans un environnement coloré et voudront revenir pour sa variété », a-t-elle expliqué.

De plus, le thème des animaux avait aussi une mission bien précise, celle d’attirer les enfants grâce à son accessibilité. Voulant grossir son affluence, le comité organisateur désirait élargir son créneau et aller chercher celle qui est toujours plus difficile à conquérir, c’est-à-dire les jeunes familles et leur marmaille.

Plusieurs moyens ont été pris pour parvenir à cet objectif, notamment un rallye dans les rues de la municipalité en lien avec l’exposition, qui aura lieu le 13 juin prochain. Toutefois, on ne le saura que le lundi 12 octobre, date à laquelle elle prendra fin.

Annie St-Jean : Inverness dans toute sa splendeur
Il n’y a pas que des réalisations de toutes sortes en rapport avec les animaux qui occupent l’espace du Musée du bronze, il y a aussi les photos argentiques d’Annie St-Jean.

En effet, avec Paysages : richesse collective rurale, elle propose un regard sublime sur ce petit coin qu’elle a adopté il y a 12 ans. « Mon projet rend hommage à la vie rurale et met à l’honneur ses habitants et ses paysages », a-t-elle expliqué.

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Source : lanouvelle.net