Le Centre d'action bénévole de L'Érable (CABÉ) a accueilli quelque 125 personnes lors de la fête de la rentrée 2015-2016 organisée au Carrefour de L'Érable à Plessisville dans le but de remercier ses bénévoles pour tout le travail accompli au cours de la dernière année.
Lors de cette activité, le CABÉ en a aussi profité pour faire découvrir ses services et faire connaître son équipe et les membres de son conseil d'administration à la population de la MRC de L'Érable qui était également invitée à participer au dîner hot-dogs et blé d'Inde suivi d'un après-midi musical, et ce, tout à fait gratuitement.
En poste depuis deux mois, la nouvelle agente aux communications et au développement du CABÉ, Geneviève Gagnon, a fait savoir qu'il y avait présentement 202 personnes bénévoles pour dispenser les services qu'offre l'organisme que ce soit au niveau du transport accompagnement (pour les rendez-vous médicaux), de la popote roulante (livraison à domicile de repas à prix modiques), des visites amicales (rendre visite à une personne seule ou malade), de Grands-mères tendresses (support moral et technique aux jeunes mamans), du courrier des enfants (correspondance avec des jeunes du primaire) et de la magnétothèque (lecture de journaux locaux).
«La demande de nos services est en croissance, notamment en ce qui concerne le transport accompagnement et notre service de popote roulante. Nous aimerions augmenter le nombre de nos bénévoles afin d'éviter qu'ils s'épuisent», explique Mme Gagnon.«Il n'est pas rare d'accompagner des personnes qui suivent des traitements d'hémodialyse jusqu'à trois fois par semaine à Victoriaville, mais aussi à l'extérieur de la région comme à Montréal, Trois-Rivières ou Québec par exemple.»
«En ce qui a trait à notre service de popote roulante, le service de repas à domicile est assuré deux fois par semaine et là aussi nous aurions besoin de nouveaux bénévoles», d'ajouter l'agente aux communications et au développement de l'organisme rappelant que l'objectif de tout ça est de réussir à garder les gens le plus possible à la maison. «Nous faisons tout ce qu'on peut pour les aider», de conclure Mme Gagnon.
Source : lanouvelle.net