« Mémoire vivante » : cinq nouveaux reportages d’aînés inspirants

Mémoires vivantes

La Société d’histoire de Plessisville présente cinq nouveaux reportages qui ont été réalisés, au cours de la dernière année, avec des aînés inspirants, dans le cadre du projet « Mémoire vivante ».

Ce projet redonne aux aînés le pouvoir de se raconter, d’échanger et de s’animer. Les personnes rencontrées deviennent des porteurs d’information et des ambassadeurs de Plessisville. Ils sont des témoins actifs de l’évolution de la ville au fil des décennies et tout leur vécu mérite d’être entendu.

Mercédez Mercure Beauchesne, Juliette Jean Dubois et Thérèse Dion Vigneault ainsi que Benoît Cloutier et Aurèle Croteau sont les cinq bâtisseurs qui ont généreusement accepté d’immortaliser leurs souvenirs devant la caméra pour la deuxième année du projet.

« À travers leurs anecdotes et leur vécu, c’est tout le développement de Plessisville et de la région de L’Érable qui est raconté », souligne Micheline Comtois, présidente de la Société d’histoire de Plessisville.

Pour mieux perpétuer le tout, un certificat honorifique signé par le maire de la Ville de Plessisville et la présidente de la Société d’histoire de Plessisville ainsi qu’une copie de leur entrevue leur est offert.

Collaboratrice dans ce projet, la Ville de Plessisville invite la population à visionner les cinq reportages « Mémoire vivante » sur le site Web de la Télévision communautaire de L’Érable (TVCÉ), également partenaire de la démarche. Les DVD des entrevues peuvent également être empruntés à la bibliothèque Linette-Jutras-Laperle, en plus d’être disponibles sur la page Facebook de la Société d’histoire, sur la chaîne YouTube de la TVCÉ et pour les abonnés Cogeco, au canal 3 ou en HD au canal 555.

« Rappelons que le projet a été mis sur pied en 2018 et a comme objectif de faire ressortir toute la richesse léguée par nos aînés. Le but est d’aller à la rencontre de bâtisseurs, de faire appel à leur mémoire et à leur capacité de relater leur histoire, leur vécu, leurs souvenirs, mais surtout donner la chance à leurs descendants de voir et d’entendre que la vie de leurs ancêtres a été plus ardue et bien différente de notre vie d’aujourd’hui », conclut Mme Comtois.

D’autres reportages seront réalisés et présentés à la population en 2021.

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Source : lanouvelle.net, 6 mai 2021