Pourquoi pas! Peu importe notre âge, il est possible de retourner sur les bancs d’école pour acquérir ce métier qui nous attire peut-être depuis longtemps.
De nombreuses personnes en recherche d’emploi nous ont révélé qu’elles étaient souvent confuses et qu’elles ne se reconnaissaient plus. Ces individus se retrouvent, sans le savoir, au mitan de leur vie.
Le mitan est une période de la vie adulte (entre 40 et 60 ans) qui est très chargée sur le plan émotif et social. La personne réévalue son passé, fait son bilan et s’aperçoit qu’elle a besoin de changement.
Nous voilà à la période des dépenses scolaires qui n’en finissent plus : vêtements, articles scolaires, activités parascolaires, repas du midi, etc.
Plusieurs personnes pensent qu’il est plus difficile de se trouver un emploi après 40 ans. Mythes ou réalités?
« Je suis trop vieux, pourquoi un employeur retiendrait ma candidature? »
« Les jeunes sont beaucoup plus avantagés que moi car ils ont la jeunesse pour eux! »
Plusieurs d’entre nous croient que faire du bénévolat ça ne rapporte rien.
Détrompons-nous! Donner du temps dans les organismes communautaires ou faire partie d’un groupe social quelconque peut être très lucratif. Peut-être pas en termes d’argent, mais en termes d’apport au niveau social.
Vous avez l’impression que vous ne répondez pas aux exigences des employeurs et que votre entourage vous pousse à aller travailler.
En regardant une offre d’emploi, certaines personnes se concentrent seulement sur ce qui leur manque et s’abstiennent d’appliquer dès qu’elles ne possèdent pas exactement tout.
D’autres, au contraire, appliquent sur des postes pour lesquels elles n’ont pas du tout les compétences exigées. Résultats : des démarches infructueuses et décourageantes.
La honte de ne pas être à la hauteur, de ne pas faire votre part dans la société ou dans votre famille, la honte de ne pas réussir dans la vie, d’être dépendant, la honte de n’avoir rien à dire, rien à faire ou rien à donner.
Personne n’est à l’abri de ce sentiment de honte, ni de la situation d’une perte d’emploi. On n’est jamais responsable à 100% de cet événement, vous n'avez donc pas à en avoir honte.
Lorsqu’on se retrouve dans une période de vie plus précaire, plus vulnérable, nous ressentons vite de l’angoisse, des peurs nous envahissent et nous avons tendance à nous isoler.
Les difficultés de recrutement de main-d’œuvre, vous connaissez? Évidemment! Cela fait partie de votre quotidien, mais nous avons peut-être une partie de la solution pour vous!
Les séjours exploratoires de Place aux jeunes, vous connaissez? Oui, non, un peu? Pourtant, cela fait déjà 18 ans que ces activités existent dans la MRC de l'Érable et au-delà de 20 ans au Québec!
