L’Érable n’a pas dit son dernier mot!
Par mary claude savoie
Malgré une légère baisse de sa population en 2015 (0,48 %)*, la MRC de L’Érable fera-t-elle mentir les statistiques par rapport à sa décroissance démographique?
Malgré une légère baisse de sa population en 2015 (0,48 %)*, la MRC de L’Érable fera-t-elle mentir les statistiques par rapport à sa décroissance démographique?
Ce concept s’applique-t-il aussi aux municipalités ?
Tout d’abord, une chose à mettre au clair avant d’aller plus loin, un citoyen d’une municipalité peut désormais être considéré comme un client. Celui-ci réside non seulement dans une municipalité, mais il consomme aussi des services offerts par l’organisation municipale.
C’est avec une certaine appréhension que j’ai débuté la lecture des Perspectives démographiques des MRC du Québec, 2011-2036.
Dans mon dernier billet concernant le Sommet sur la croissance démographique, je parlais des nombreuses pistes d’action à considérer.
IMPOSSIBLE. Voilà un mot à bannir dans la MRC de L’Érable!
PEUR. Rangeons donc ce mot aux oubliettes également.
Une bonne chose de fait! Parlons maintenant de la croissance démographique sur notre territoire.
Dans la foulée du Sommet sur la croissance démographique, nous avons beaucoup parlé de la baisse importante de la population sur le territoire de la MRC de L’Érable.
Nous avons perdu 2022 personnes en 20 ans, plus précisément de 1986 à 2006. Durant la période où cette baisse de 8 % est survenue, le Québec a vu sa population croître de 4 %.
Dans la foulée du Sommet sur la croissance démographique, nous avons demandé aux jeunes de la MRC pourquoi ils aiment vivre dans L’Érable. Par le biais d’un concours Facebook, les 13 à 18 ans ont fourni plusieurs réponses intéressantes.
Avant de choisir leurs représentants et représentantes à l’Assemblée nationale, les aînés devraient prendre en compte certains aspects touchant de près leurs conditions de vie. Par exemple, que disent les partis politiques sur les sujets suivants :
L’idée que les frais de santé vont littéralement exploser avec le vieillissement de la population est bien ancrée dans les mentalités. Selon la croyance populaire, plus une personne vieillit, plus elle consomme des soins de santé. Et si ce raisonnement était trop simple? Micheline Boivin, sociologue et directrice de recherche au gouvernement du Québec de 1993 à 2000, doute de plus en plus de la calamité annoncée.